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Sourate 105

L’ÉLÉPHANT
AL-FÎL

La cent cinquième sourate, dix-neuvième dans l’ordre chronologique, compte cinq versets d’inspiration mekkoise. La tradition historico-biographique lui donne pour contexte l’expédition, pour le compte d’un négus éthiopien, d’Abraha, vice-roi du Yémen, contre le Hidjaz en 570/571, l’année de la naissance du Nabi. Les assaillants, nantis d’éléphants, risquaient de détruire la Ka‘bat, mais une armée d’oiseaux lâcha sur eux une pluie de pierres qui les écrasa. Le sanctuaire fut sauvé et l’année fut baptisée l’année de l’Éléphant.

Sourate 105.

L’ÉLÉPHANT (AL-FÎL)

Au nom d’Allah,
le Matriciant, le Matriciel...

1. Ne vois-tu pas comment ton Rabb
a traité les Compagnons des Éléphants ?

2. N’a-t-il pas fait de leur fourberie un fourvoiement ?

3. Il a envoyé contre eux les oiseaux Abâbîls

4. leur jeter des pierres empreintes,

5. qui les a mis en fauches fanées.